Pascale

conductrice de ligne Industrie

Conductrice de ligne polyvalente, Pascale Uguen a découvert l'entreprise au cours d'un stage, avant d'y faire une mission en intérim pour ensuite décrocher un CDI.

De l'intérim au CDI

C’est par le biais de l’intérim que Pascale fait ses premiers pas dans l’entreprise. Son BTS de secrétariat commercial en poche, elle ne pensait pas travailler dans l’agroalimentaire mais, sur les conseils de Pôle Emploi, elle tente sa chance chez Even. Sa première journée se passe aux yaourts puis son premier mois en pâtisserie. Son CDD de six mois se transforme en CDI, et lui permet d'accéder, à sa demande, à l’atelier crêpes. Un atelier qu’elle connaissait déjà pour l’avoir découvert au cours d’un stage. Une première expérience qui lui a tout de suite parue concluante en raison de l'intérêt porté au produit mais aussi pour l'ambiance de travail et la part laissée à l’intervention humaine.

Avoir l’œil et le bon !

Aujourd’hui conductrice de ligne polyvalente, Pascale est capable de passer de la cuisson à l’emballage, jusqu’à la mise en carton. « Il n’y a pas deux jours où nous faisons la même chose, souligne-t-elle. La crêpe, même avec des recettes parfaitement calibrées, reste un produit vivant. Il faut sans cesse surveiller sa cuisson, sa souplesse et son aspect visuel… Il faut avoir l’œil et le bon ! Ce contrôle implique de l’expérience et une parfaite connaissance de la ligne. J'estime qu'il faut au moins un an pour acquérir cette expérience indispensable à la bonne conduite d’une ligne de production. »

Ce que j'apprécie à l'atelier crêpes, c'est que ça reste un produit vivant et qu'il n'y a pas de routine. Il faut sans cesse surveiller la cuisson, la souplesse, l’aspect visuel…L’appréciation du conducteur de ligne et la pertinence de ses réglages sont primordiaux pour obtenir un produit aussi beau que bon !

Pascale

Conductrice de ligne industrie

L'envie d'apprendre

Depuis ses débuts à l’étiquetage en bout de ligne, Pascale a parcouru toutes les étapes de la fabrication jusqu’à la cuisson. Même si les gestes répétitifs et certaines manipulations ont quasiment disparu, les machines ne font pas tout. L’appréciation du conducteur de ligne, sa surveillance, et la pertinence de ses réglages sont indispensables pour obtenir un produit aussi beau que bon !